mercredi 13 octobre 2010

La cause suprême : le droit HUMAIN !

Extrait de l’introduction dans l’ébauche du Le livre blanc Contrat Social québécois, de Yanick Lefebvre.


            Qu’est-ce l’humanité? L’humanisme est-il un espoir? Sommes-nous enliser dans nos vieux principes, croyances et même doctrine? Est-ce que l’ego individuel est maintenant plus fort que son prochain, que l’altruiste? Toutes ces questions que nous nous posons, lorsque nous observons notre société, sont bien réelles. Et il est temps de pouvoir maintenant les étudier et ainsi, y remédier. Cependant, comment pouvons-nous,  nous citoyens de ce monde merveilleux, arriver à vivre conjointement ensemble et cela, tous peuples ou nations confondus? Vous pourriez me comparer à une utopie, mais lorsque nous voyons les changements diverses que nos gouvernements sont obligés d’effectuer, un effet de cette conscientisation sociale, est l’une des preuves réfutant toute utopie que vous pouvez y envisager. Ce livre s’appuie sur des réalités sociopolitiques que nous avons pu observer sur la planète dans les dernières décennies et surtout, de leurs évolutions.

            C’est sur que nous pouvons toujours observer cela, sous cette définition de la Nation. Et cela, sera fait plus loin. Mais encore, ici nous observons que ce soit tous individus qui vit et cela, à l’égard de toutes règles et lois qui régissent cette communauté. Sa participation s’impose pour la formation d’une unité et cela, non seulement politique, de toutes nations vers un Contrat social commun à tous et rassembleur.

            Qu’est-ce qui empêche cette participation? Plusieurs choses entraînent cette baisse d’intérêt de la population face aux différentes instances que se soient. Sur ce point, nous avons dépassé le niveau du simple manque d’intérêt populaire pour aboutir à un sinistre sans précédent dans les relations entres le peuple et ses autorités constituantes.


1 commentaire:

  1. Merci pour ces textes qui portent à réfléchir. Cependant, pour être juste et équitable, je devrai accorder une note en fonction de la demande : trois articles de 200 à 250 mots chacun. Hors, il en manque un troisième et le premier est trop long. De plus, il y a plusieurs fautes d'orthographe...

    5/10

    Session :88,6 %

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