jeudi 14 octobre 2010

La Publicité Humanitaire et Sociale


 Ce que j’aime de ce cours, c’est démontrer comment l’humain peut faire grandiose et cela, sans nécessairement y dilapider sa fortune. De plus, l’aspect philanthropique que nous pouvons ajouter à ce cours l’enrichi grandement. Ainsi, les diverses campagnes, reliées à des besoins réels de notre société, permettent d’accroître l’approche pratique de la formation. Cependant, je mets un bémol sur ces éloges. Le fait est le contexte intensif de l’horaire. Sur ce point, permettez moi une petite parenthèse.

« À quand, une institution humaine! »
Pour des raisons encore inconnues à mon esprit, l’université préconise
 l’enseignement intensif au détriment de la qualité de l’enseignement.

Maintenant, revenons à nos moutons. Au début, j’aborde la question que l’humain peut accomplir énormément, cependant c’est toujours conditionnel à l’action engendrée. Je m’explique! Durant tout le long du cours, nous avons abordé deux types d’approches pour mener une campagne publicitaire humanitaire et sociétal et surtout, en ayant constamment la notion d’un coût minime et même souvent, de budgets presque inexistants. C’est deux structures sont soit une publicité créée à la base d’un événement ou la création de clip ou autre support médiatique. Je n’enlève rien au événement, cependant je me réfère au résultat que le chargé de cours, M. Richard Leclerc, dresse de l’événement « Gouache » au complexe Desjardins. Beaucoup d’effort pour un résultat minime. Dans cette optique, il est important de posséder pour ce type d’approche, au point de vue de la portance, une idée encore plus forte que lorsque nous abordons la simple création d’un clip publicitaire.

 Suite à la création vient la question de la diffusion. Lorsque j’observe notre société, de son individualisme égocentrique et surtout, lorsqu’il est temps de passer à l’action; j’y vois beaucoup de confrère de vie prendre leurs jambes à leur cou et cela, pour des raisons propres à chacun. Le fond du problème est le choque qui existe entre les médias majeurs et ceux de moindre importance qui sont reliés à l’Internet. Ces nouveaux médias sont loin d’être à négliger, cependant pas à l’encontre des anciens médias. Prenons comme exemple le cas de la présidence au États-Unis de 2008. Est-ce que le président Obama porterait se titre s’il avait simplement miser sur l’Internet et ses réseaux sociaux? Ainsi, il est logique de croire que toutes causes est gagnantes lorsque qu’elle réussit le plus important : de créer une synergie entre tous ces types de médias, anciens comme nouveaux. Donc, sans CNN, ABC, etc., Obama ne serait pas Président. Ainsi, cette peur d’approcher les gros médias peut laisser paraître un manque de confiance envers votre propre campagne et même pire, envers votre propre cause. Mais je tiens à préciser que la diffusion, par les médias majeurs, n’est pas garantie, cependant… (Voir la dite phrase plus bas)

Pour les coûts reliés à ce type de publicité, je vous dirais simplement cette phrase et au même moment, ayez en tête que c’est un humain sensible à certaines causes qui reçoit votre proposition. Ainsi, cette dite phrase est :
« DEMANDES  ET  TU  RECEVRAS! »
Et son contraire est encore plus véridique
« Demandes rien et tu n’auras rien! »

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